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Une Cuma ?
C’est une Coopérative d’Utilisation de Matériel Agricole.
La CUMA rassemble des agriculteurs qui investissent et utilisent des équipements en commun. Elle réalise ses projets sur un territoire qui peut être communal, intercommunal voire plus grand pour les équipements les plus coûteux ou les plus spécialisés.
La cuma est surtout un collectif d’hommes et de femmes qui veulent vivre dignement de leur métier.
Les statuts sont ceux d’une société coopérative. Les orientations sont prises en assemblée générale (1 homme = 1 voix) et mises en œuvre par le conseil d’administration et son bureau. Pour être adhérent, il faut souscrire des parts sociales et s’engager dans la durée à faire appel à la Cuma. Le but est non lucratif – les services sont généralement facturés à prix coûtant – est les résultats sont mis en « réserves » pour pérenniser la coopérative et développer ses projets. C’est le règlement intérieur qui prévoit les modalités d’utilisation du matériel, la méthode retenue pour le planning, l’organisation de la conduite et de l’entretien (entraide ou / et salarié), le mode de facturation (à l’heure, à l’ha…).
Les objectifs poursuivis en Cuma sont l’amélioration du revenu et des conditions de travail des adhérents agriculteurs, le maintien d’un tissu agricole et rural dynamique et l’élaboration de projets innovants notamment en matière d’environnement durable. En résumé, les Cuma participent pleinement à l’économie sociale et solidaire.
Les Cuma sont nées après guerre pour relever le défi de l’autosuffisance alimentaire et du développement industriel en libérant des bras. Aujourd’hui, les problématiques sont différentes, mais tout aussi sérieuses. Donner un revenu du travail aux « actifs », permettre à l’homme d’avoir des objectifs, nourrir la population mondiale, créer du lien social, maîtriser les innovations, protéger la nature et la santé humaine ; sont quelques uns des défis à relever au 21e siècle. Les Cuma y contribuent modestement.
La cuma est surtout un collectif d’hommes et de femmes qui veulent vivre dignement de leur métier.
Les statuts sont ceux d’une société coopérative. Les orientations sont prises en assemblée générale (1 homme = 1 voix) et mises en œuvre par le conseil d’administration et son bureau. Pour être adhérent, il faut souscrire des parts sociales et s’engager dans la durée à faire appel à la Cuma. Le but est non lucratif – les services sont généralement facturés à prix coûtant – est les résultats sont mis en « réserves » pour pérenniser la coopérative et développer ses projets. C’est le règlement intérieur qui prévoit les modalités d’utilisation du matériel, la méthode retenue pour le planning, l’organisation de la conduite et de l’entretien (entraide ou / et salarié), le mode de facturation (à l’heure, à l’ha…).
Les objectifs poursuivis en Cuma sont l’amélioration du revenu et des conditions de travail des adhérents agriculteurs, le maintien d’un tissu agricole et rural dynamique et l’élaboration de projets innovants notamment en matière d’environnement durable. En résumé, les Cuma participent pleinement à l’économie sociale et solidaire.
Les Cuma sont nées après guerre pour relever le défi de l’autosuffisance alimentaire et du développement industriel en libérant des bras. Aujourd’hui, les problématiques sont différentes, mais tout aussi sérieuses. Donner un revenu du travail aux « actifs », permettre à l’homme d’avoir des objectifs, nourrir la population mondiale, créer du lien social, maîtriser les innovations, protéger la nature et la santé humaine ; sont quelques uns des défis à relever au 21e siècle. Les Cuma y contribuent modestement.
